Voici les « arguments », et autres dérivatifs le plus souvent employé:
1. L’absence de rapport entre la France et le Génocide des Arméniens.
2. La présence d’Arméniens dans les rouages de l’administration Jeune-Turque et dans l’armée ottomane.
3. L’absence de jugement condamnant les auteurs des massacres de masses et systématique contre les Arméniens.
4. La contestation de l’emploi du terme « génocide » pour des faits antérieurs à sa définition juridique.
5. La contestation de l’emploi du terme « négationniste » pour ceux qui nient les massacres prémédités et systématiques contre les Arméniens au début du XXième siècle.
6. La création de la confusion entre la lutte pour la (re)connaissance du Génocide des Arméniens et la stigmatisation des Turcs (turcophobie).
7. L’appel à un débat entre historiens pour trancher la question du qualificatif de « génocide » en ce qui concerne les évènements subis par les Arméniens au début du XXième Siècle.
8. L’exigence de l’ouverture des archives arméniennes.
9. La diffusion de l’idée que la défense de la réalité du Génocide des Arméniens est une opinion, voire une « version arménienne de l’histoire. »
10. La diffusion de l’idée que c’est sous la pression du terrorisme arménien que la reconnaissance politique du Génocide des Arméniens a vu le jour.
11. Le rapport entre le Génocide des Arméniens et des faits historiques antérieurs: les massacres des Amérindiens.
12. Le rapport entre le Génocide des Arméniens et des faits historiques postérieurs: la colonisation en Algérie par la France.
13. Le rapport entre le Génocide des Arméniens et des faits historiques postérieurs: la tragédie de Xocali.
1. L’absence de rapport entre la France et le Génocide des Arméniens.
2. La présence d’Arméniens dans les rouages de l’administration Jeune-Turque et dans l’armée ottomane.
3. L’absence de jugement condamnant les auteurs des massacres de masses et systématique contre les Arméniens.
4. La contestation de l’emploi du terme « génocide » pour des faits antérieurs à sa définition juridique.
5. La contestation de l’emploi du terme « négationniste » pour ceux qui nient les massacres prémédités et systématiques contre les Arméniens au début du XXième siècle.
6. La création de la confusion entre la lutte pour la (re)connaissance du Génocide des Arméniens et la stigmatisation des Turcs (turcophobie).
7. L’appel à un débat entre historiens pour trancher la question du qualificatif de « génocide » en ce qui concerne les évènements subis par les Arméniens au début du XXième Siècle.
8. L’exigence de l’ouverture des archives arméniennes.
9. La diffusion de l’idée que la défense de la réalité du Génocide des Arméniens est une opinion, voire une « version arménienne de l’histoire. »
10. La diffusion de l’idée que c’est sous la pression du terrorisme arménien que la reconnaissance politique du Génocide des Arméniens a vu le jour.
11. Le rapport entre le Génocide des Arméniens et des faits historiques antérieurs: les massacres des Amérindiens.
12. Le rapport entre le Génocide des Arméniens et des faits historiques postérieurs: la colonisation en Algérie par la France.
13. Le rapport entre le Génocide des Arméniens et des faits historiques postérieurs: la tragédie de Xocali.